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Il eut l'idée de regarder par-dessus le mur qu'il côtoyait. Il y avait l

Leur route côtoyait les bois des collines, en suivant un sentier qui séparait la prairie des régions boisées: d'un côté ondulait l'Océan de la verte plaine; de l'autre, la forêt profonde, comme une toison luxuriante, couvrait

Ils s'y jetèrent tous deux, et, en trois coups d'aviron, touchèrent l'autre bord. Un sentier côtoyait la berge de la rivière et conduisait

Lémor retourna sur ses pas et chercha l'inconnue sans la trouver. Le chemin rapide qu'il avait parcouru côtoyait l'extrémité de la garenne; il y avait l

Cette après-midi, un souffle invisible soulevait les rideaux de verdure de la maison. Auberte tourna le bâtiment d'avant-garde de son château en suivant la bande de gazon, assez large en réalité, qui côtoyait le vide et servait de chemin, elle entra dans une cour profonde, assombrie par des ormes gigantesques.

Dumont d'Urville, qui si souvent côtoyait leurs petites îles, dit: «C'est un étrange supplice de voir de près la paix de ce bassin intérieur, de voir tout autour sous l'eau peu profonde des bancs avancés s'étalent les coraux en parfaite sécurité, lorsqu'on est soi-même en pleine tempêteCe monde aimable est un écueil. Touchez et vous êtes brisé. La mer transparente vous montre un abîme

Le lendemain, le comte partit pour Vienne, et sa prétendue fille monta dans une litière avec sa gouvernante. A une lieue de Fraülen, la litière s'arrêta. En cet endroit la route côtoyait le Danube et une barque était amarrée dans les roseaux. Quatre hommes montaient cette barque, moi et mon domestique, déguisés toujours en paysans hongrois, et deux mariniers bulgares.

Ce qu'on traversa de Trieste parut gai, propre et bien bâti; la route du casin, vers lequel on se dirigeait, côtoyait en s'élevant les bords de l'Adriatique, et c'était un panorama ravissant que celui dont on jouissait du casin lui-même: la mer, dans les flots de laquelle se mirait Trieste assise sur son rivage, et la ville elle-même couronnée par des collines bien boisées, bien cultivées, l'oeil découvrait de tous côtés d'élégantes habitations.

A l'appui de ses idées, M. De Guignes a aussi traduit un autre passage du Nan-szu, qui donne la route, par mer, de la Corée au pays de Ta-han. M. Klaproth traduit également ce passage, et il dit, en le rectifiant sur quelques points: «On partait alors de Ping-yang, ancienne capitale des Coréens, sur la côte ouest de ce royaume; on cotoyait cette presqu'île, et après une navigation de 12,000 lys, on arrivait au Japon. De l

On côtoyait de magnifiques potagers et des jardins qui n'étaient séparés de la route que par un large fossé. Nos aventuriers pouvaient tout