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«Mercredi. D. gaie en comparaison des jours précédents. Je lui ai chanté une mélodie touchante, Les cloches du soir, qui ne l'ont point calmée, bien au contraire. D. émue au dernier point. Je l'ai trouvée plus tard qui pleurait dans sa chambre; je lui ai cité des vers je la comparais

Je le comparais

Mais, j'avais confiance en la miséricorde divine; pour me donner du courage, je me comparais mentalement

En quittant Valvin je montai vers le nord; je passai près d'un amas de grès dont la situation, dans une terre unie et découverte, entourée de bois et inclinée vers le couchant d'été, donne un sentiment d'abandon mêlé de quelque tristesse. En m'éloignant, je comparais ce lieu

Considérant ces âmes innocentes, je les comparais

Pour la première fois, je m'aperçus de ce que je n'avais peut-être pas su remarquer jusqu'alors, c'est que ses yeux, quoique baignés de pleurs, n'étaient ni rouges ni gonflés; ils paraissaient peut-être même plus brillants encore sous les larmes limpides qui coulaient doucement, je dirais presque coquettement, si je les comparais aux sanglots amers et convulsifs de la véritable douleur.

Mais alors je comparais malgré moi les enchantements d'une vie amoureuse et ignorée aux sacrifices que m'imposaient cette brillante couronne de pureté, cette souveraineté de vertu, cette éclatante majesté du renoncement.

Je raisonnais ainsi de Pygmalion sans le voir; car on ne le voyait point, et on regardait seulement avec crainte ces hautes tours, qui étaient nuit et jour entourées de gardes, il s'était mis lui-même comme en prison; se renfermant avec ses trésors. Je comparais ce roi invisible avec Sésostris, si doux, si accessible, si affable, si curieux de voir les étrangers, si attentif

Il s'interrompit, et reprit ainsi: «Est-ce Louis XV qui peut lutter contre toi, Spartacus?... Frédéric, le disciple de Voltaire, n'est pas si puissant que son maître... Et si je comparais Marie-Thérèse

Les paroles ne peuvent rendre la secrète angoisse de mon âme en voyant la société dans laquelle je venais de tomber, quand je comparais les compagnons de ma vie journalière avec ceux de mon heureuse enfance, sans parler de Steerforth, de Traddles et de mes autres camarades de pension. Rien ne peut exprimer ce que j'éprouvai en voyant étouffées dans leur germe toutes mes espérances de devenir un jour un homme instruit et distingué. Le sentiment de mon abandon, la honte de ma situation, le désespoir de penser que tout ce que j'avais appris et retenu, tout ce qui avait excité mon ambition et mon intelligence s'effacerait peu