United States or Zimbabwe ? Vote for the TOP Country of the Week !


Vers la quarantaine, M. Colin-Tampon eut un violent accès de goutte. Dans ses méditations solitaires, qui toujours roulaient sur la mercerie, il lui vint une inspiration de génie, et il inventa le bouton inamovible qui fit sa fortune. Devenu riche, il se retira

Le facteur rural avait disparu dans un chemin creux qui l'éloignait de l'ours. La conscience de M. Colin-Tampon cessa de lui faire des reproches, et M. Colin-Tampon poussa un soupir de soulagement. D'autre part, le grand drôle et son ours avaient fait la paix, et s'en allaient tranquillement, l'un suivant l'autre, par une avenue qui les éloignait tous les deux de M. Colin-Tampon et d'Azor.

En le voyant si jeune et si leste, Mme Colin-Tampon sourit. Ernest arriva comme elle descendait la dernière marche du perron; son mouvement fut si vif, que le tendre baiser destiné

Au souvenir de ses mésaventures, le chasseur rougit et balbutia. «Vous avez sans doute un port d'armesreprit le brigadier. M. Colin-Tampon porte vivement la main

M. Colin-Tampon, lui, se figurait que Martin avait soif de sang humain, tandis que Martin guignait tout le temps les pommes vermeilles d'un pommier vers lequel M. Colin-Tampon battait en retraite sans le voir, puisqu'il lui tournait le dos.

Mais M. Colin-Tampon n'était point au courant des usages, des moeurs et des superstitions de l'antiquité. Il y avait

M. Colin-Tampon pensa que sa dernière heure était venue; ses forces l'abandonnèrent subitement et il tomba en arrière; il avait lâché son arme inutile, et il avait fait voler ses lunettes dans l'espace, par la violence du coup qu'il avait appliqué sur son chapeau, près de choir. Azor, affolé, tomba

M. Colin-Tampon poussa un second soupir de soulagement, plus profond que le premier. «Azor, mon camarade, dit-il, nous pouvons nous vanter de l'avoir échappé belleAzor eut l'effronterie de se précipiter en aboyant, dans la direction par l'ours opérait sa retraite. «Pas de fanfaronnades! lui dit son maître, nous savons ce que nous savons; soyons modestes

«A propos de dreyfusards, dis-je, il paraît que le prince Von l'est, Ah! vous faites bien de me parler de lui, s'écria M. de Guermantes, j'allais oublier qu'il m'a demandé de venir dîner lundi. Mais, qu'il soit dreyfusard ou non, cela m'est parfaitement égal puisqu'il est étranger. Je m'en fiche comme de colin-tampon. Pour un Français, c'est autre chose. Il est vrai que Swann est juif. Mais jusqu'

Au fait, je suis peut-être bien hardi d'oser écrire que les lunettes de M. Colin-Tampon tremblèrent d'émotion. La poésie seule a le droit de prêter la vie et le sentiment aux objets inanimés. Je me reprends donc et je dis: «Le nez de M. Colin-Tampon trembla d'émotion, et les lunettes qui le chevauchaient suivirent le mouvement de leur montureMe voil