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C'est le plus grand Boehmer-Wald, dont les cimes les plus élevées se trouvent l

Quand je pénétrai pour la première fois dans l'intérieur, que je visitai les régions qui forment la limite de cette province, je restai positivement ébahi devant ces arbres géants dont les cimes touffues ne donnent pas d'ombre, parce que leurs feuilles sont verticales; devant ces fougères énormes qui forment de véritables bois.

Je me plongeais ainsi dans cette prestigieuse extase que donnent les hautes cimes, et cette fois, sans vertige, car je m'accoutumais enfin

Ils sont tous les soirs trop près de l'abîme... ils savent trop combien la ruine arrive vite... combien les créanciers deviennent facilement insolents!... Aussi mon habit ne me gêne pas. C'est la première fois peut-être. On ne laisse pas traîner un soufflet sur la joue au café Molière. J'ai vu des cimes d'herbes se gommer de rouge, l'autre matin.

En ce moment, un rayon de lune passa entre deux cimes d'arbres et vint éclairer le visage de l'espion.

«Les arbres inondent les cimes aplanies de la montagne avec une variété infinie de fleurs, tels qu'on voit les sombres nuages, enfants des vapeurs chaudes, verser des pluies

Aux confins de l'horizon apparaissaient les derniers contreforts d'une chaîne de montagnes dont les cimes se dressaient dans l'espace, semblables

Il s'approche d'une fontaine environnée de cèdres et de palmiers, dépose son bouclier, ôte son casque et ensuite toute son armure qui l'accablait de chaleur. «Il tourne son visage tantôt vers la mer, et tantôt vers la montagne, au souffle doux et frais de zéphirs qui font trembler avec un agréable murmure les hautes cimes des hêtres et des sapins.

Mais le regard de Henri ne se fixait ni sur ces plaines verdoyantes, ni sur ces cimes chenues et dorées: son regard franchissait les espaces intermédiaires, et allait au-del

O vous que j'ai aimée aux jours de ma jeunesse D'un sombre amour, O Forêt, vous étiez la soeur de ma tristesse Et son séjour! Lorsque le renouveau de vos feuilles naissantes Chantait au vent, Que l'Automne parait vos cimes bruissantes D'un or mouvant, Quand, fraîche d'espérance et lourde encor de gloire, Votre beauté Paraissait tour