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[Note 106: Le chevalier de Champcenetz (1759-1794) fut le principal rédacteur des Actes des Apôtres. Il écrivit aussi dans le Petit Journal de la Cour et de la Ville, et, de concert avec Rivarol, publia en 1790 le Petit Almanach des grands hommes de la Révolution. Ayant quitté Paris après le 10 août, il eut l'imprudence d'y revenir, fut arrêté et traduit, le 23 juillet 1794, devant le tribunal révolutionnaire. Quand le président eut prononcé sa condamnation

Mme de Champcenetz concluait de ce langage que Joséphine était royaliste, qu'on pouvait compter sur elle, mais qu'il fallait lui laisser le temps de disposer son mari aux résolutions qu'elle souhaitait de lui voir prendre. À la faveur de ces raisons, Montesquiou restait inactif; les membres du Conseil royal laissaient passer le temps sans donner de leurs nouvelles au roi.

C'est le marquis de Champcenetz, qui, condamné

C'était ce même Champcenetz qui,

Le comte de Tilly avait, comme Champcenetz, un esprit mordant qui lui faisait de nombreux ennemis. Lorsqu'il prenait quelqu'un

Je n'en ferai rien, citoyen, dit Champcenetz d'un ton goguenard au disciple de saint Crépin. Comment donc! Monsieur le marquis... Il n'y a plus de marquis, il n'y a que des citoyens... Alors, citoyen Champcenetz... Du tout, citoyen André Fivaut (c'était le nom de cet homme),

M. de Bièvre continua sur ce ton, qui était alors bien plus de mode qu'aujourd'hui, et que l'on souffrait tellement, que mademoiselle Lange, entrant au foyer, s'y voyait saluée par lui du nom de l'Ange-lure, de l'Ange-eu, etc. Il était temps que Champcenetz prît le marquis

Rivarol était l'un des rédacteurs des Actes des Apôtres avec Champcenetz, Mirabeau-Tonneau, etc. Celui-ci devait ce surnom

Champcenetz était un homme dont Rivarol avait dit: il se bat pour les chansons qu'il n'a pas faites; il aurait pu ajouter que l'esprit de Champcenetz était frère du sien. Tout le monde pouvait prendre en effet sa part des saillies de Champcenetz sans que celui-ci la revendiquât; il était prodigue et paresseux de ce côté-l

De ces faits et de divers autres, les agents du roi tiraient cette conclusion «que la restauration était la véritable pensée de Bonaparte». Ils ajoutaient: «Mme de Champcenetz, dont l'esprit est aussi pénétrant que les yeux, juge Mme Bonaparte de bonne foi avec elle. Mme Bonaparte n'a aucun intérêt