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Pour un certain nombre de républicains de nos jours, peu d'accord avec la grande école républicaine de 1830, avec les Armand Carrel, les Godefroy Cavaignac, les Garnier-Pagès, les Buchez, les Raspail, les Armand Barbès et tant d'autres, Robespierre est resté l'incarnation de la Terreur. On a beau leur rappeler le mot que prononçait Barère, au nom du comité de Salut public, dans la séance du 10 thermidor, mot qui donna

L'intention de M. de Lamartine, et après lui, celle de M. le général Cavaignac, était de demander

Mais procédons par ordre. A le Commission exécutive succéda le général Cavaignac. Le décret du 11 octobre 1848 abrogea formellement, en ce qui touchait ma famille, la loi du 10 avril 1832, qui, confondant les proscripteurs et les proscrits, avait banni la branche aînée des Bourbons, et maintenu, moins la sanction pénale, l'exil dont ils nous avaient frappés, par la loi du 12 janvier 1816. La candidature de Louis-Napoléon fut produite, et une immense acclamation répondit qu'il était resté dans le coeur du peuple le souvenir de l'homme qui avait porté

Le général Cavaignac, qui, n'ayant pas été nommé président, venait de déposer le pouvoir au sein de l'assemblée avec ce laconisme tranquille qui sied aux républiques, assis

Louis-Napoléon Bonaparte descendit de la tribune, alla droit au général Cavaignac, et lui tendit la main. Le général hésita quelques instants

Lamartine est un grand caractère; je n'en veux pour preuve que les belles paroles que j'ai recueillies de sa bouche, le jour nous nommâmes la Commission exécutive. «Si je voulais me séparer de Ledru-Rollin, nous dit-il, j'aurais deux cent mille hommes derrière moi; mais je craint la réaction et la guerre civileQuoi qu'il en soit, n'est-il pas profondément triste, après tant de vicissitudes, que ce que j'eusse obtenu de Lamartine, ou peut-être même du général Cavaignac, m'ait été dénié, malgré bien des promesses antérieures, par mon propre cousin, sous prétexte d'une opposition sincère et modérée, que je n'aurais pu cesser sans abjurer ma religion politique, et abdiquer toute dignité et toute indépendance?

Vous disiez dans cette mansarde, je m'en souviens bien: «La terreur! cela se supporterait maintenant un mois tout au plus, et, après, nous aurions peut-être vingt ans de monarchieEn! bien, nous pouvons aujourd'hui retourner la question. Cavaignac nous a fait une terreur militaire au point de vue de la République bourgeoise. Le socialisme s'est, pour ainsi dire, joint

Le paragraphe suivant commence ainsi: «Sous un autre président de la république, etcC'est donc bien le général Cavaignac et son gouvernement que, dans ces quelques lignes, vous accusez d'être intervenu

Nous avons commis une erreur, faute d'avoir ici le Moniteur sous les yeux, en attribuant au gouvernement du général Cavaignac la première pensée de l'intervention armée

Notons, en passant, que pas un des ministres de Cavaignac ne fut accusé ni soupçonné de la moindre improbité; la calomnie n'eût même pu les attaquer.