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Les trois aventuriers se trouvaient sur la rive septentrionale de la branche méridionale de la Caoulis vers un de ces endroits appelés cañons ou barranca, par les Espagnols et coulées par les Canadiens-Français. Ils semblait que le lit primitif de la rivière eût été desséché après une révolution terrestre et transporté par cette même révolution

La presse anglaise d'Ontario, qui ne se pique pas de sympathie pour les Canadiens-Français, ne peut cependant nier leurs progrès. Un journal de Toronto, le Mail, terminait ainsi un de ses articles: «Nous nous plaignons, non sans raison, de nous sentir envahis par nos voisins; mais au lieu de nous répandre en plaintes stériles et en invectives irritées et irritantes, observons ce qu'ils font, et faisons en même temps un retour sur nous-mêmes. Il est inutile de chercher

Dispersés sur un immense territoire, entourés de populations de races différentes, les Canadiens-Français ont conservé leur religion. Dès qu'ils ont pu se rassembler et former des établissements, ils ont demandé des prêtres et ont élevé

Parce qu'ils sont prêtres? Qu'avons-nous besoin d'un Concile de la langue française? Ils ont si bien envahi ce Congrès qu'il ne s'y fera que de la théologie patriotique! L'enthousiasme clérical, c'est de la religion toujours, et c'est énervant, la religion toujours... Ne sont-ils pas citoyens? Ne sont-ils pas Canadiens-Français? Le coeur n'est pas sous les soutanes comme dans un tombeau!

Les Canadiens-Français répondirent

Le malheureux, traqué par ses ennemis, sans doute, qui l'entouraient sans le voir, car d'énormes rochers masquaient sa retraite, le malheureux, privé de son canot, avait succombé aux atteintes de la faim et peut-être aussi de ce mal terrible que les Canadiens-Français appellent la folie des bois . Se voyant mourir, il avait creusé sa tombe et s'y était étendu.

Ce bill suscita des débats qui se renouvelèrent dans les deux chambres pendant plusieurs jours; mais une partie de l'opposition n'avait saisi l'occasion que pour faire la guerre au ministère, et non pour défendre les intérêts des Canadiens-français. C'étaient des récriminations entre les torys et les whigs, entre sir Robert Peel et lord John Russell, lord Howick, etc. M. Roebuck fut entendu devant les deux chambres, comme agent du Canada, et fit un discouru de quatre heures, devant celle des communes. Mais son influence y était alors en baisse; et d'ailleurs sa conduite n'était pas toujours prudente. Ainsi il avait assisté

Lord Durham ne pouvait justifier en termes plus forts la conduite de la chambre d'assemblée, et cependant après l'avoir justifiée il s'appuya de cette même conduite pour recommander l'union des deux Canadas, parce que le seul pouvoir qui puisse arrêter d'abord la désaffection actuelle et effacer plus tard les Canadiens-français, c'est celui d'une majorité loyale et anglaise.

Dans ce faubourg, un des plus populeux de Montréal, essaiment des Canadiens-Français artisans, détailleurs ou débitants de boissons pour la plupart. Jadis ses hôtes étaient gens enrichis par la traite des pelleteries. On peut s'en convaincre aisément

A ne considérer que l'intérêt national des Canadiens-Français, quels seraient les résultats probables de l'Union? Il est