United States or Saint Kitts and Nevis ? Vote for the TOP Country of the Week !


L'American journal, de Boston, disait le 28 décembre 1889: «les Jésuites français ont conçu le projet de former une nation catholique avec la province de Québec et la Nouvelle-Angleterre; et ce projet de rendre la Nouvelle-Angleterre catholique et française a déj

»J'ai vu un ami de votre M. Irving, un fort joli garçon, un M. Coolidge, de Boston, un peu trop plein seulement de poésie et d'enthousiasme. J'ai été fort poli envers lui pendant son séjour de quelques heures, et j'ai beaucoup parlé avec lui sur Irving, dont les écrits font mes délices. Mais je soupçonne qu'il n'a pas été autant charmé de moi, vu qu'il s'attendait

Dans tous les plaisirs il faut un peu de mystère. Mais, si vous voulez, monsieur de Mariolles, nous ferons un boston après. Mme Sylvère ne sera pas jalouse d'une vieille femme. Je ne suis pas jalouse, fait Sylvère un peu froidement. Mais je ne bostonne pas assez bien pour inviter votre mari. Oh! s'écrie San Buscar, nous vous donnerons dix minutes de leçon demain, Imogène et moi.

Je désire qu'on observe, pour le don que je fais aux habitans de Philadelphie, ce que je viens de recommander pour celui qui concerne les habitans de Boston. Il ne doit y avoir qu'une seule différence: c'est que comme Philadelphie a un corps administratif, je le prie de se charger de ma donation, pour en faire l'usage expliqué plus haut; et je lui donne tous les pouvoirs nécessaires

De nos jours il s'est trouvé un écrivain allemand qui a pris pour modèle les écrits de Sade et qui s'est montré son émule, c'est l'auteur anonyme du livre intitulé: Aus den Memoiren einer Sängerin. (Extrait des Mémoires d'une cantatrice.) Boston, Reginald Chesterfield, 2 vol. pet. in-8º, VII et 244 p.; 251 p. Cet ouvrage a été imprimé

Enfin, mus par le désir de revoir nos foyers, rassasiés de gloire et de nos parts prises, nous allions reprendre terre, lorsqu'un sloop qui nous servait d'éclaireur vint nous informer qu'un gros bâtiment anglais se dirigeait vers Boston. Son allure était lourde et sa marche bien lente. Il était

Peu de carrières ont été aussi pleinement, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce fils d'un teinturier de Boston, qui commença par couler du suif dans des moules de chandelles, se fit ensuite imprimeur, rédigea les premiers journaux américains, fonda les premières manufactures de papier dans ces colonies dont il accrut la civilisation matérielle et les lumières; découvrit l'identité du fluide électrique et de la foudre, devint membre de l'Académie des sciences de Paris et de presque tous les corps savants de l'Europe; fut auprès de la métropole le courageux agent des colonies soumises, auprès de la France et de l'Espagne le négociateur heureux des colonies insurgées, et se plaça

Il quitta Cambridge, près de Boston, le 13 septembre

JOURNAL D'UN SOLDAT. Manuscrit anonyme et inédit. L'auteur, probablement un soldat allemand, donne en mauvais français un récit assez écourté du siège d'York et de la marche des troupes pendant leur retour vers Boston. Je n'ai trouvé d'autres renseignements sur le même sujet que dans le Journal de Blanchard.

[Note 140: Blanchard, chargé par Rochambeau d'aller demander au comité de Boston le secours des troupes provinciales, partit le 26 juillet et se fit accompagner par un dragon saxon, amené par les Anglais, mais passé au service des Américains. Celui-ci devait lui servir d'interprète, mais ne savait pas le français; il parlait l'anglais, dont Blanchard savait