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Lamartine a, paraît-il, laissé une description fidèle du collège et du décor magnifique de Belley dont on verra plus loin l'indéniable suggestion sur sa pensée. Quant
Nous reprîmes, après un frugal repas, la route de Belley, ne cessant de parler
Nous avons quelques détails sur l'enseignement du père Wrindts, qui professait la philosophie au collège de Belley: en effet, son cours, copié alors par un condisciple de Lamartine, Jules Jenin, existe encore aujourd'hui, et le chanoine Dejey et l'abbé Rochet, qui ont pu le parcourir, l'analysent ainsi: «Sa rédaction faite en latin, écrit M. Rochet, est d'un style sobre et élégant; on voit que le père Wrindts s'est inspiré de l'enseignement que donnaient les Pères Jésuites au XVIIIe siècle; les nouveautés de la philosophie cartésienne en sont écartées et au besoin réfutées. Sur la question du concours divin, le professeur, conformément
Le collège de Belley où l'enfant fera les seules études régulières qu'on lui connaisse, et pendant quatre années seulement, avait été fondé au milieu du XVIIIe siècle par lettres patentes du 10 février 1753 enregistrées en parlement de Dijon. Ses constructions furent achevées en 1764 et l'évêque de Belley confia l'organisation des études
À cette date, Mme de Lamartine a noté qu'il commençait ses travaux de l'année avec répugnance et découragement. La suite des événements prouve qu'il repartait pour Belley malgré lui et très décidé
Nous avons cité ces deux fragments faute d'avoir pu prendre nous-même connaissance des cahiers; ils ont l'avantage de concorder entièrement entre eux et d'apporter ainsi la preuve que l'enseignement philosophique de Belley était fondé sur les doctrines molinistes; quant
Ainsi, on trouve dans Chateaubriand l'âme même de Lamartine; non pas froidement analysée, mais mélancoliquement décrite et dans ses moindres nuances, avec le vague et la langueur qu'il aimait. L'adolescent mystique de Belley, enclin déj
Il a parlé, on l'a vu, de deux volumes épurés; la première édition abrégée de Chateaubriand est bien en deux volumes, mais elle est de 1808, année où il avait quitté Belley. Est-ce alors
=Une journée chez les Bernardins=. Nous partions de Belley, et nous allions
Vers 1790, il existait, dans un village appelé Gevrin, arrondissement de Belley, un commerçant extrêmement rusé, il s'appelait Landot, et s'était arrondi une assez jolie fortune.
Mot du Jour