United States or Liechtenstein ? Vote for the TOP Country of the Week !


Toute la cérémonie fut très imposante et belle. Le moment l'impératrice fut couronnée excita un mouvement général d'admiration, non pour cet acte en lui-même, mais elle avait si bonne grâce, elle marcha si bien vers l'autel, elle s'agenouilla d'une manière si élégante et en même temps si simple, qu'elle satisfit tous les regards. Quand il fallut marcher de l'autel au trône, elle eut un moment d'altercation avec ses belles-soeurs qui portaient son manteau avec tant de répugnance, que je vis l'instant la nouvelle impératrice ne pourrait point avancer. L'empereur, qui s'en aperçut, adressa

Après la "mise en voiture", qui me fait l'effet d'une mise en bière, un grand moment se passe. Ma belle-mère, mes belles-soeurs qui étaient venues me chercher, n'ont pas fini leur verre de sirop et retardent tout le départ... Tant mieux! C'est autant de gagné; un quart d'heure de moins que j'aurai donné

Le comte venait d'inventer cette ruse diplomatique afin de procurer, comme il l'avoua plus tard, l'occasion aux futures belles-soeurs de causer

Je remercie mes parents et ceux de ma femme pour l'affection et la bienveillance qu'ils m'ont toujours montrées en particulier mon affectionné et bien aimé beau-père; ma belle-mère, mes beaux frères et belles-soeurs. A eux aussi je demande pardon pour tout ce qui, dans ma conduite, n'a pas été bien ou aurait été mal.

Et la vigilante intendante lui répondit: Hektôr, puisque tu veux que nous disions la vérité, elle n'est point allée chez tes soeurs, ni chez tes belles-soeurs au beau péplos, ni dans le temple d'Athènè avec les autres Troiennes qui apaisent la puissante déesse

Madame de Clèves demeura dans une affliction si violente, qu'elle perdit quasi l'usage de la raison. La reine la vint voir avec soin, et la mena dans un couvent, sans qu'elle sût on la conduisait. Ses belles-soeurs la ramenèrent

Cette nouvelle outre le chagrin qu'elle me causa, par l'intérêt que je prenois au destin de mon frère, m'en attira d'autres. La princesse Wilhelmine s'étoit flatté jusqu'alors de l'épouser; dans l'idée que je pouvois y contribuer, elle m'avoit fait toutes les avances imaginables. J'avois pris ses caresses pour argent comptant, ne m'étant point doutée de son dessein. J'aurois fort souhaité qu'une de mes belles-soeurs eût pu convenir

Le pape précéda l'empereur de plusieurs heures, et montra une patience admirable, en demeurant longtemps assis sur le trône qui lui avait été préparé dans l'église, sans se plaindre du froid ni de la longueur des heures qui se passèrent avant l'arrivée du cortège. L'église Notre-Dame était décorée avec goût et magnificence. Dans le fond de l'église, on avait élevé un trône pompeux pour l'empereur, il pouvait paraître entouré de toute sa cour. Avant le départ pour Notre-Dame, nous fûmes introduites dans l'appartement de l'impératrice. Nos toilettes étaient fort brillantes, mais leur éclat pâlissait devant celui de la famille impériale. L'impératrice, surtout, resplendissante de diamants, coiffée de mille boucles comme au temps de Louis XIV, semblait n'avoir que vingt-cinq ans . Elle était vêtue d'une robe et d'un manteau de cour de satin blanc, brodés en or et en argent mélangés. Elle avait un bandeau de diamants, un collier, des boucles d'oreilles et une ceinture du plus grand prix, et tout cela était porté avec sa grâce ordinaire. Ses belles-soeurs brillaient aussi d'un nombre infini de pierres précieuses, et l'empereur, nous examinant toutes les unes après les autres, souriait

Avec ses belles-soeurs, Rebecca n'eut point l'air d'oublier qu'elle avait été leur gouvernante. Après le leur avoir rappelé, elle leur demanda, de son plus grand sérieux, elles en étaient de leurs études, les assura de son attachement passé et futur. À l'entendre, on aurait pu croire, en vérité, que depuis leur séparation Rebecca n'avait fait autre chose que de penser

On allume, au bout de bâtonnets, une quantité de lanternes rouges, grises ou bleues, et, après des révérences sans fin, les invitées se dispersent dans l'obscurité des sentiers et des arbres. Nous descendons nous-mêmes en ville, Yves, Chrysanthème, Oyouki et moi, pour reconduire ma belle-mère, mes belles-soeurs et ma jeune tante, madame Nénuphar.