United States or Liechtenstein ? Vote for the TOP Country of the Week !


Ainsi la soumission devenait de plus en plus générale, et on laissait la nouvelle commune poursuivre ses débats avec la convention. Dans ce moment, Barrère, toujours prêt

Quelques minutes après que le médecin qui était debout au chevet de son lit, eut dit: Il est mort! le président de l'assemblée nationale se leva de son siège et dit: Il est mort! tant ce cri fatal avait en peu d'instants rempli Paris. Un des principaux orateurs de l'assemblée, M. Barrère de Vieuzac, se leva en pleurant et dit ceci d'une voix qui laissait échapper plus de sanglots que de paroles: «Je demande que l'assemblée dépose dans le procès-verbal de ce jour funèbre le témoignage des regrets qu'elle donne

On avait des soldats, il fallait des officiers. Le comité agit ici avec sa promptitude ordinaire. «La révolution, dit Barrère, doit tout hâter pour ses besoins. La révolution est

Le lendemain, Barrère fut chargé de rédiger la proclamation, et il travestit les événemens du 31 mai avec cette rare dextérité qui le faisait toujours rechercher quand il s'agissait de fournir aux faibles un prétexte honnête de céder aux forts. Des mesures trop rigoureuses avaient excité, disait-il, du mécontentement; le peuple s'était levé avec énergie, mais avec calme, s'était montré toute la journée couvert de ses armes, avait proclamé le respect des propriétés, avait respecté la liberté de la convention, la vie de chacun de ses membres, et demandé une justice qu'on s'était empressé de lui rendre. C'est ainsi que Barrère s'exprimait

Le lendemain devait amener une discussion tout aussi grave que celle du jour: en effet, Billaud, Collot, Barrère et Vadier, devaient être entendus pour la première fois devant la convention. Une foule de patriotes et de femmes étaient accourus de bonne heure pour remplir les tribunes. Les jeunes gens, plus prompts, les avaient devancés, et avaient empêché les femmes d'entrer. Ils les avaient congédiées assez rudement, et il en était résulté quelques rixes autour de la salle. Cependant de nombreuses patrouilles, répandues aux environs, avaient maintenu la tranquillité publique; les tribunes s'étaient remplies sans beaucoup de trouble, et depuis huit heures du matin jusqu'

La vengeance se saisit de l'arbitraire, et de toutes les armes qu'il avait employées. Après avoir commandé dans le sein de la convention la déportation de Collot, de Billaud et de Barrère, et envoyé le tribunal révolutionnaire au même échafaud il avait envoyé des milliers de victimes, la vengeance répandit ses fureurs dans les provinces. Partout le gouvernement révolutionnaire avait exercé ses ravages, elle agita ses torches et fit étinceler son poignard;

Après ce rapport, Barrère fut chargé d'en faire un autre sur les arrestations qu'on disait chaque jour plus nombreuses, et de proposer les moyens de vérifier les motifs de ces arrestations. Le but de ce rapport était de répondre, sans qu'il y parût, au Vieux Cordelier, de Camille Desmoulins, et

On lit ensuite l'acte de consignation du tableau au gouvernement français, qui est signé par MM. Credaro, di San Giuliano et Barrère, et par MM. Vicini, Besnard, Ricci et Poggi comme témoins.

La séance de la Convention avait été orageuse. L'apologie de Robespierre n'avait pas eu le succès qu'il en attendait. Son début avait été de la plus grande maladresse. La séance s'était ouverte par Barrère annonçant la reprise d'Anvers, c'est-

Les comités se mirent en mesure de faire exécuter sans retard les décrets qui venaient d'être rendus. Le matin même on enferma dans des voitures les quatre déportés, quoique l'un d'eux, Barrère, fût extrêmement malade, et on les achemina sur la route d'Orléans, pour les envoyer