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«Et le baron!... Ah! tant pis, faites-le entrer! Il sait bien ce que c'est qu'une femmeIl y avait plus de deux heures que M. de Reuthlinguer attendait dans le boudoir, patiemment assis, les mains nouées sur les genoux. Blême, froid, de moeurs austères, le banquier, qui possédait une des plus grosses fortunes de l'Europe, faisait ainsi antichambre chez Clorinde, depuis quelque temps, jusqu'

«Vous êtes facilement dupe, monsieur le général! répondit Moreali. Cela ne doit pas étonner de la part d'un caractère chevaleresque comme le vôtre; mais les devoirs austères de mon état m'ont appris

Tout lui parut bon, les jouissances de la table, les satisfactions de la vanité, les émotions du jeu, et même les joies austères de la famille. Il montrait dans sa maison l'empressement d'un jeune mari, et dans le monde la fougue d'un fils de famille émancipé. Sa femme était la plus heureuse de France, mais elle n'était pas la seule dont il fit le bonheur. Il pleura de joie

Allons donc, mon cher ami, des pignons ne sont pas austères; ce sont des pignons, voil

Le porphyre, le quartz, le granit, sont la principale composition des Alpes. Au fond des précipices, dans les ravins, se trouve une riche végétation qui mêle ses teintes brillantes aux couleurs austères des rochers. Les contadins, pour cultiver, montent d'étroits escaliers, et, avant d'arriver aux terres qu'ils ensemencent, ils ont souvent une plus grande élévation

Souvent je me suis imaginé, dit le fossoyeur, qu'on avait le creuser dans l'origine pour rendre la vieille église plus lugubre, et les moines plus pieux et plus austères. On a l'intention de le fermer et de le murer,

A part donc les vertus austères qui se rencontrent l

Les vents, les flots, les cris sauvages, L'azur, l'horreur du bois jauni, Sont les formidables breuvages De ces altérés d'infini; Ils ajoutent, rêveurs austères, A leur âme tous les mystères, Toute la matière

Venise, pour avoir été héroique contre les étrangers, amassa dans l'âme de ses citoyens les plus beaux désintéressements. Ainsi, je fus toujours ému d'une sorte de générosité naturelle, je hais l'hypocrisie des austères, l'étroitesse des fanatiques et toutes les banalités de la majorité.

Ainsi, au lendemain de la révolution de 1830, l'éducation que je reçus fut celle qui se donnait, il y a deux cents ans, dans les sociétés religieuses les plus austères. Elle n'en était pas plus mauvaise pour cela; c'était la forte et sobre éducation, très pieuse, mais très peu jésuitique, qui forma les générations de l'ancienne France, et d'où l'on sortait