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Je suis joyeulx sans plaisance mondaine; chascun rit, pensif et douloreux; Sans nul travail, si suis je hors d'alaine; Pres de tout bien, suis le tres langoreux; Ce qui me plaist, est aspre et rigoreux; J'ayme estre seul, et si vueil compaignie; Je dors assez, et suis en frenesie; En desespoir j'ay grand allegement; Ce qui est doulx, m'est plus amer que suye; Or jugiez donc se je vis plaisamment.

Annal. Incidence. En celle année fu l'yver si aspre et si fort, que on ne recordoit pas que nul eust oncques veu si grant si cruel.

L'Hyver devint si rude, & si aspre, qu'il se trouvoit des glaces espaisses de 300. & de 360. pieds. Les bieres, & les vins, jusques aux vins d'Espagne les plus purs, &

Alphonse, depuis roi de Portugal. Lors fu l'occision grant et la bataille aspre et dure, si ne porent plus les Anglois souffrir endurer le fait de la bataille. Quant le roy Henry vit sa gent fouir et apeticier, si fu trop durement couroucié et esbahi, si s'en tourna vers la cité de Saintes.

[Note 51: "Et sont (les sauvages) tant hommes; femmes qu'enfants plus durs que bêstes au froid. Car de la plus grande froidure que ayons veu, laquelle estait merveilleuse et aspre, venaient par-dessus les glaces et neiges tous les jours

Je deviens vieil, sourt et lourt, Et quant me treuve en ennuy, Nonchaloir est mon apuy, Qui mainteffoiz me secourt. Des soucies, etc. Je voy mal faire et mal parler, Je voy meschefz renouveller, Je voy loyaulté du tout morte, Je voy trahison aspre et forte, Je voy partout tout mal aler. Je voy hayneurs entre acoler, Verité voy dissimuler, Grans et petiz sont d'une sorte. Je voy mal, etc.

Pour affier arbres/ lesquelz viennent de noyaulx/ quant vous en mengerez les fruictz: gardez les noyaulx/ & les faictes seicher au vent sans les mettre au soleil trop aspre.

Au récit de Zuinger , «La peste estant fort aspre es environs du Rhin l'an 1364, plusieurs mourans

Aultre exemple. Ce lieu est si umbrageux, que le fruict n'y peult meurir. C'est adire, tant ambitieux, tant enuieux, tant iniurieux, tant oultrageux, tant umbrageux. Allors garde toy de l'apostropher: car il n'y auroit rien si aspre en prolation, que de dire s'ambitieux, s'enuieux, s'iniurieux, s'oultrageux, s'umbrageux. Tel est l'usage de ceste particule, ni.

Celle journée fu dure et aspre aux barons: car Sarrasins leur lancièrent quarriaux et sajetes espessement, ainsi comme ce feust pluie: mais tant se tindrent jusques