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Pour acquérir un grand prestige, ils établissent le noviciat des jeunes Brahmes et l'ascétisme des vieillards. A la période védique succède la période héroïque, l'Inde des Kchattrias, qui dure plusieurs siècles pendant lesquels les Ariahs s'emparent: d'abord du cours inférieur du Gange, puis du reste de la péninsule.

«Si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux famillesManou a donné en partage aux femmes l'amour de leur lit, de leur siège et de la parure, la concupiscence, la colère et la perversité.» «Aucun sacrement n'est pour les femmes accompagné de prièresIl n'en était point ainsi chez les Ariahs védiques. Il est impossible de pousser plus loin le mépris de la femme.

Comme il ne s'est trouvé aucune trace de fétichisme chez les Ariahs de l'époque védique, ni aucun autre fétiche dans le culte brahmanique postérieur, il faut penser que le linga est le fétiche probablement très ancien d'une race assujettie, peut-être les Daysous noirs, et que les Brahmes, pour s'attacher cette race, adoptèrent Siva et le linga, en confondant

Il n'est point surprenant qu'un homme d'imagination identifie ainsi deux doctrines qui se rapprochent beaucoup par leur pureté. M. Emile Burnouf, de son côté, pense que ce Credo était aussi celui des Ariahs dans l'Ariavarta, ce qui peut se concilier avec la thèse de Mr de Bunsen. Le même auteur fait dériver la symbolique chrétienne du culte primitif des Ariahs.

Le but était d'empêcher la diminution numérique et par suite l'effacement de la race des Ariahs, aujourd'hui représentée uniquement par les Brahmes, et aussi de développer la population servile dont le travail était la source principale de la richesse publique. Le législateur pensait sans doute qu'il fallait exciter les passions chez un peuple physiquement assez faible, d'un tempérament lymphatique, disposé

Les Ariahs ont

Les moeurs des Ariahs paraissent avoir été pures dans l'Aria-Varta, berceau commun des Ariahs asiatiques, et dans le Septa Sindou leur première conquête dans l'Inde, entre la vallée délicieuse de Caboul et la Serasvati. L'épouse était une compagne aussi respectée que dévouée.

Le culte était privé, le père de famille pouvait, même sans le poète ou barde de la tribu, consommer le sacrifice; mais bientôt le poète imposa sa présence et il devint prêtre. Dans le principe rien ne distinguait les prêtres du corps des Ariahs ou Vishas, pasteurs; ils étaient, comme les autres membres de la tribu, pasteurs, agriculteurs, guerriers, souvent les trois