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Ce désintéressement est fort édifiant, mon très estimé monsieur Sharp, dit-il, mais moi qui n'ai pas les mêmes raisons que vous, et il appuya sur ces derniers mots, de ne pas aspirer aux libéralités du Tzar, vous me permettrez de compter, n'est-ce pas, sur votre appui pour retirer de cette affaire quelque bénéfice.

Jacques chercha un appui contre la voiture et respira lentement. Et l'autre, et l'autre? demanda-t-il d'une voix

Charny regarda la reine, elle semblait près de chanceler. Il eût fait un pas vers elle; le roi l'arrêta par son immobilité. De quel droit, lui, qui n'était rien pour cette femme, eût-il offert sa main ou son appui

C'était ce qu'il ne pouvait savoir. Au reste, il comptait, et avec raison, sur Milady: il avait deviné dans le passé de cette femme de ces choses terribles que son manteau rouge pouvait seul couvrir; et il sentait que, pour une cause ou pour une autre, cette femme lui était acquise, ne pouvant trouver qu'en lui un appui supérieur au danger qui la menaçait.

Il en avait de très-divers et qui lui prêtaient leur appui

La pauvre femme sentit le besoin d'un appui, d'un dernier retour vers l'amour peut-être, avant de subir l'épreuve qui la menaçait. Vicomte, dit-elle

Tremblant d'effroi, le malheureux enfant jetait autour de lui des regards désespérés qui cherchaient un appui; mais tous attendaient sa réponse en frissonnant. Eh bien, Falaléi, j'attends! Pour toute réponse, Falaléi fit une affreuse grimace, ouvrit une bouche immense et se mit

Que devait-il faire? étaient la vérité, le bien, le juste? Qui pouvait le conseiller? Il se promit de s'entretenir, longuement, avec sa mère. Pourquoi, malgré les termes de froideur et de réserve il se tenait avec eux, ne demanderait-il pas leur appui

Elle ne fit, par affection pour la petite fille, le sacrifice d'aucune de ses fantaisies, ni d'aucun des caprices dont elle émaillait son existence, mais Zézette était toujours sûre de trouver près d'elle un appui, un bon conseil, un secours moral, quand elle se sentait abandonnée par son père, le seul homme qui l'aimât réellement.

Devinant ma méfiance, il s'empressa de la combattre. Il me fit entendre, avec toute la politesse de son langage subtil et froid, qu'il se jugeait trop vieux et trop peu riche pour m'offrir son appui, mais qu'un jeune lord immensément riche, qui m'avait été présenté par lui, et qui m'avait fait quelques visites, lui avait confié l'honorable message de me tenter par des promesses magnifiques. Je n'eus pas la force de répondre