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Comme l'amour fraternel pour Marguerite, l'amour maternel est la vie de Mme de Sévigné: «Ma fille, aimez-moi donc toujours: c'est ma vie, c'est mon âme que votre amitié.» «La tendresse que j'ai pour vous, ma chère bonne, me semble mêlée avec mon sang, et confondue dans la moelle de mes os; elle est devenue moi-même.» «Adieu, ma fille, adieu, la chère tendresse de mon coeur.» «Adieu, ma chère enfant, l'unique passion de mon coeur, le plaisir et la douleur de ma vie.» «Aimez mes tendresses, aimez mes faiblesses; pour moi, je m'en accommode fort bien. Je les aime bien mieux que des sentiments de Sénèque et d'

Bonsoir, chère; rappelez-moi au souvenir de votre soeur chérie. Battez ferme, pour moi, sur le dos d'Enrico, et aimez-moi toujours, car je vous aime pour toujours. Françoise Meillant, ancienne domestique de madame Sand. A M. CHARLES DUVERNET, A LA CH

«J'ai pleuré d'attendrissement, mon cher cœur, en lisant votre lettre. Oh! ne croyez pas que je vous oublie, votre amitié est écrite dans mon cœur en traits effaçables, elle est ma consolation avec mes enfants que je ne quitte plus. J'ai plus que jamais bien besoin de l'appui de ces souvenirs et de toute mon courage, mais je me soutiendrai pour mon fils, et je pousserai jusqu'au bout ma pénible carrière; c'est dans le malheur surtout qu'on sent tout ce qu'on est; le sang qui coule dans mes veines ne peut mentir. Je suis bien occupée de vous et des vôtres ma tendre amie, c'est le moyen d'oublier les trahisons dont je suis entourée; nous périrons plutôt par la faiblesse et les fautes de nos amis que par les combinaisons des méchants, nos amis ne s'entendent pas entre eux et prêtent le flanc aux mauvais esprits, et, d'un autre côté, les chefs de la Révolution, quand ils veulent parler d'ordre et de modération, ne sont pas écoutés. Plaignez-moi, mon cher cœur, et surtout aimez-moi; vous et les vôtres je vous aimerai jusqu'

ROSALINDE. Je jure par cette main, qu'il ne ferait pas mourir une mouche: mais allons, je veux être maintenant votre Rosalinde d'une humeur plus complaisante: demandez-moi ce que vous voudrez, et je vous l'accorderai. ORLANDO. Eh bien! Rosalinde, aimez-moi. ROSALINDE. Oui, ma foi, je veux bien; les vendredis, les samedis et tous les jours. ORLANDO. Et voulez-vous m'avoir?

Les intérieurs subissent généralement le contre-coup du malheur général. Le nôtre est uni et fraternel. Nous nous affligeons ensemble et d'un même coeur. Nous tâchons de nous donner de l'espoir les uns aux autres, et souvent c'est le plus désolé qui s'efforce de consoler les autres. Aimez-moi toujours, mon enfant. La douleur doit rapprocher et resserrer les liens de l'affection.

«Le roi de Suède est en Angleterre; je ne l'ai pas encore vu. Je vous donnerai des détails par le prochain packet-boat; je n'en ai aujourd'hui ni le temps ni la force, car M. de La Chapelle part demain matin pour Londres. Adieu, mon ami; aimez-moi, plaignez-moi; je vous embrasse de tout mon cœur.» À Hartwell, ce 2 décembre 1810.

Pourtant, ajouta-t-elle après un moment de réflexion, ce dut être un beau moment quand elle vit ce roi jeune, amoureux, charmant qui tremblait en lui disant: Je vous aime, aimez-moi!

C'est un certain comte de La Fère... celui que vous appelez Athos, ajouta le roi en terminant la conversation, comme il l'avait commencée, par un joyeux éclat de rire. Adieu, chevalier, adieu! Aimez-moi comme je vous aime.

Bonjour, chère bonne; écrivez-moi souvent. Aimez-moi toujours. Grondez Emmanuel de ce qu'il ne m'écrit jamais. Embrassez tendrement pour moi votre bon Manoël et parlez de moi

A vous de coeur, ma bien charmante héroïne. Aimez-moi comme je vous aime et comme je vous comprends. Nohant, septembre 1855.