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La correspondance de Mazarin avec Colbert prouve que Fouquet essayait quelquefois de résister. Le 23 mai 1657, Colbert écrivait au cardinal: «Je ne manquerai pas de proposer

En 1657, Lambert Closse épousa Mlle Elizabeth Moyen, fille adoptive de Mlle Mance, dont les parents avaient été cruellement mis

«Le père de notre épousée avoit pris le nom de Montjeu d'une belle terre qu'il avoit achetée. Il avoit ajouté beaucoup aux richesses de son père dans le même métier. Il avoit la protection de M. Fouquet; elle lui valut l'agrément de la charge de greffier de l'ordre, que Novion, depuis premier président, lui vendit en 1657, un an après l'avoir achetée. La chute de M. Fouquet l'éreinta. Après que les ennemis du surintendant eurent perdu l'espérance de pis que la prison perpétuelle, les financiers de son règne furent recherchés. Celui-ci se trouva fort en prise: on ne l'épargna pas; mais il avoit su se mettre

Dès le 16 mai 1657, Colbert rendait compte

C'est son fils que nous trouvons en 1649 gouverneur de Rocroy (Estat de la France), qu'en 1653 il essaie en vain (Lenet, p. 615) de défendre contre les Espagnols, et que nous voyons, en 1657, cornette des chevau-légers du roi (Montp., t. 3, p. 217). Bussy parle de ce Montaigu-l

Nous n'entrerons pas dans la bibliographie du Roman comique, qui n'en finiroit pas. La première partie parut pour la première fois en 1651, chez Toussaint Quinet (le privilége est du 20 août 1650); la deuxième chez Guillaume de Luynes, (Quinet étant mort dans l'intervalle), en 1657 seulement, quoique le privilége soit du 18 décembre 1654. Cette première édition est fort rare; la bibliothèque de l'Arsenal, seule

Rentré en France vers la fin d'octobre 1657, Mignard s'arrêta d'abord

Estre d'une grande naissance, lui écrivoit Beauchâteau en 1657, Avoir du bel esprit le pur raffinement, Faire dans les combats esclater sa vaillance, Vivre

Claude de Lorraine, le 5 juin 1578, mort le 24 janvier 1657. Il gagna bien plus avec la maréchale de Fervaques . Cette dame étoit veuve, sans enfants, et riche de deux cent mille écus.

Le dit sieur Fouquet a acquis en 1657 le marquisat d'Asserac, par décret fait sur le marquis d'Asserac. Du depuis la dame d'Asserac, veuve du dit marquis, parente de M. Fouquet et portant le mesme nom que lui , retira le dit marquisat par retrait lignager, et après elle l'échangea avec le sieur Boislève pour le duché de Penthièvre, et ensuite la dite dame passa un acte ou contre-lettre avec le dit sieur Boislève, par laquelle il est déclaré qu'encore qu'ils aient convenu d'un eschange, par elle lui laisse son marquisat d'Asserac et autres terres pour le dit duché de Penthièvre, néantmoins la vérité est que les parties n'ont point entendu que le dit sieur de Boislève retinst le dit marquisat d'Asserac, et qu'il ne doit retenir que telles et telles autres terres pour le prix et somme d'environ 900,000 livres, et pour le restant du prix convenu