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Brantôme may have allowed his imagination to run away with him; but the good influence of Agnes must have been acknowledged in her own time and later, or Francis I would not have written of her: "'Plus de louange son amour s'y mérite Étant cause de France recouvrer!" "And I, for my part, don't believe a word of it!" said Miss Cassandra emphatically.

"Loüange

The laquais a louange are sure to lose no opportunity of cheating you; and as for the postilions, I think they are pretty much alike all the world over. These, sir, are the observations on men which I made in my travels; for these were the only men I ever conversed with.

The following portrait and poetry, taken from M. Saint-Amand, does the subject full justice: "Catherine de' Medici represented with a sinister glance, deadly mien, mysterious and savage aspect—a spectre, not a womanis not true to nature. Her self-possession, cool cunning, supreme elegance, imperturbable tranquillity, calmness, moderation, noble serenity, and dignified poise, gave her an individuality such as few women ever possessed. Gentle in crime and tragedy, polite like an executioner toward his victimthis Machiavellianism which is equal to every trial, which nothing alarms or surprises, and which with tranquil dexterity makes sport of every law of morality and humanitythis is the real character of Catherine de' Medici." The following burlesque poetry was composed for her: "La reine qui ci-git fut un diable et un ange, Toute pleine de blâme et pleine de louange, Elle soutint l'Etat, et l'Etat mit

C'est une vertu, la gaiete, et vous l'avez en France, cette vertu! Il me disait cela melancoliquement; et c'etait la premiere fois que je lui entendais faire une louange adressee a la France. . . . Mais il ne faut pas que vous voyiez la une plainte de ma part.

Celui qui fait tout ce qui luy est possible, pour auancer vostre affaire, quoy qu'il ne la meine pas, & n'en puisse auoir le succez cõme vous l'esperez, ne doit point entendre de reprimãde; puis qu'il est plus digne de loüange que de blâme.

Napoleon flattait le peuple; Wellington le brusqne; l'un cherchait les applau-dissements, l'autre ne se soucie que du temoignage de sa conscience; quand elle approuve, c'est assez; toute autre louange l'obsede.

Et, apres en avoir rendu louange a Dieu, les mena en sa pauvre maisonnette, et leur monstra de quoy elle vivoit durant sa demeure; ce que leur eust este incroiable, sans la congnoissance qu'ilz avoient que Dieu est puissant de nourrir en un desert ses serviteurs, comme au plus grandz festins du monde.

It is in Du Bellay's Olive, a collection of sonnets in praise of a half-imaginary lady, Sonnetz a la louange d'Olive, that these characteristics are most abundant. Here is a perfectly crystallised specimen:

'Nous avons tous assez de force pour supporter les maux d'autrui. 'Quelque bien qu'on nous dise de nous, on ne nous apprend rien de nouveau. 'On croit quelquefois haïr la flatterie, mais on ne hait que le manière de flatter. 'Le refus de la louange est un désir d'être loué deux fois. 'Les passions les plus violentes nous laissent quelquefois du relâche, mais la vanité nous agite toujours. No more powerful dissolvent for the self-complacency of humanity was ever composed.