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Un homme, dont la femme avoit ete saignee, interroge le lendemain pourquoi elle ne paroissoit pas a table, repondit: "Elle garde la chambre: Morand l'a saignee hier, et une saignee affoiblit beaucoup quand elle est faite par un habile homme."

She drew closer, leaned against him, and so they sat in silence. Then, from below, soft but wonderfully clear through the still darkness, they heard the sound of Ivor's singing. He was going on with his half-finished song: "Le lendemain Phillis plus tendre, Ne voulant deplaire au berger, Fut trop heureuse de lui rendre Trente moutons pour un baiser." There was a rather prolonged pause.

Le lendemain de notre arrivée, un gentilhomme de Bavière vint saluer mondit seigneur de Valse. Messire Jacques Trousset, averti de sa venue, annonça qu'il alloit le faire pendre

The unhappy boy who attended him, though only twelve or thirteen years old, was tormented before his eyes with a pitiless ferocity. Il ne m'en reste maintenant qu'un seul entier, et encore ils en ont arrache l'ongle avec les dents. Un soir ils m'enlevaient un ongle, le lendemain la premiere phalange, le jour suivant la seconde. En six fois, ils en brulerent presque six.

And it would be hard to say where we are to look for this consummation if not in the United States of America, which "has been the home of the poor and the eccentric from all parts of the world, and has carried their poverty and passions on its stalwart young shoulders." We may visit the United States, like M. Bourget, pour reprendre un peu de foi dans le lendemain de civilisation.

Thus 'lierre, ivy, was written by Ronsard, 'l'hierre, which is correct, being the Latin 'hedera. 'Lingot' is our 'ingot, but with fusion of the article; in 'larigot' and 'loriot' the word and the article have in the same manner grown together. In old French it was l'endemain, or, le jour en demain: 'le lendemain, as now written, is a barbarous excess of expression.

Je partis donc le lendemain, une heure avant le jour, avec l'aide de Dieu qui jusque-l

Je partis donc, le lendemain 6 Octobre, accompagné d'un moucre, que je chargeai d'abord de transporter hors de la ville mes habillemens Turcs, parce qu'il n'est point permis

La première journée, je rencontrai sur ma route l'amiral (commandant) de cette ville. Il revenoit d'un pélerinage avec une troupe de cinquante cavaliers et de cent chameaux, montés presque tous par des femmes et des enfans qui l'avoient accompagné au lieu de sa dévotion. Je passai la nuit avec eux; et, le lendemain, de retour a Jérusalem, j'allai loger chez les cordeliers,

Cependant ils envoyèrent le lendemain chez l'ambassadeur pour le prévenir qu'ils étoient visibles, et il se rendit aussitôt chez chacun d'eux avec des présens: telle est la coutume; on ne peut leur parler sans apporter quelque chose, et il en est de même pour les esclaves qui gardent leurs portes. Je l'accompagnai dans cette visite.